AFFAIRE DSK, LE COUP EST PARTI DE PARIS AFFIRMENT LES EXPERTS.
L'affaire DSK est un piège tendu et réussi par Paris. Des hauts Responsables de services secrets français analysent, découpent les faits et confient :
"Le déroulement de faits ressort des pratiques habituels de services secrets rapprochés des hiérarchies qui attendent un ordre immédiat qui est vite donné et passe à l'exécution.
La Chaîne hotelière - Accord - propriétaire de l'Hotel Sofitel est une société française.
Un hotel de ce type fréquenté par de hauts Responsables politiques français et étrangers a sans doute à son sein des services secrets français.
Les relations intimes brouillées de DSK et la jeune femme se déroulent à 11hoo, la jeune Femme va tenir informer la Direction de l'Hotel qui est dirigée par un français avec la majorité de son staff. De 11hoo, l'heure du déroulement de faits, la Police n'est alertée qu'à 13hoo. C'est juste le temps de discussions et de recevoir les ordres précis de la hiérarchie à Paris.
DSK, confiant à Sofitel parce qu'étant une structure hotelière française, oubliait par distraction qu' en sa qualité du Directeur de FMI, partout là où il se trouve, les services secrets tant américains, français qu'européens étaient à sa suite. Il n'avait aucun droit à la moindre distraction maladroite. Dans l'écart de temps entre les faits et la plainte de la jeune femme autorisée par les Responsables de Sofitel qui sont français, Paris était capable de tout faire taire et étouffer l'affaire. Mais après délibération, il a été décidé de le liquider."
Dans le découpage de faits et analyses de ces hauts Responsables de services secrets français dont on ignore les tendances, ils déplorent cette politique de se regler les comptes politiques en sol étranger, c'est sans doute une nouvelle politique française qui donne une brèche à la fragilisation. Quoi que fasse la justice américaine, le scénario de traîne de DSK a été délibéré par Paris pour se débarasser d'un compatriote devenu indésirable suite à son anscension politique.
Bruno KASONGA
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