Wednesday, January 18, 2012

Si la vérité existait!!!

Mail transféré -----
De : maufranc.mongai1 <maufranc.mongai1@yahoo.fr>
À : Michel Pombia Avocat <pombiamichel@hotmail.com>
Envoyé le : Samedi 14 Janvier 2012 18h56
Objet : Un depute belge repond aux congolais


Sent: Thursday, 12 January 2012, 22:14
Subject: D.C. un depute belge repond aux congolais
 
Un depute belge repond aux Congolais
Patrick Cocriamont 
Député de la Couronne Belge
 
Chères Dames, Chers Messieurs les congolais,
Je confirme mon point de vue concernant les bienfaits de la colonisation belge au profit des populations indigènes du Congo, le fait que Lumumba était un bandit, Kasa-Vubu un incompétent, Mobutu un sanguinaire, Laurent Désiré Kabila et Joseph Kabila deux dictateurs sanguinaires.
 
Il n'est un peuple que congolais sur terre qui puisse accepter une vie hors de l'imaginable ! Pour cause, les congolais préfèrent s'occuper des histoires qui dépassent leur niveau de vie actuelle en lieu et place de se prendre en charge en partant de petites choses journalières. Le congolais ne réfléchit pas, en tout cas s'il le fait, il ne le fait pas assez pour lui permettre d'atteindre le niveau de vie qu'il veut s'octroyer.
 
On me dirait que c'est la maladie de diamant, de l'or, du coltant, etc. car jamais sur cette terre des hommes les minerais ont battu les puissances. Mais la réalité est que le Congo est une déception pour la Belgique, une déception pour l'Afrique, une déception totale pour toute la terre.
J'ai reçu beaucoup des mails d'indignation de la part des Congolais et de certains hommes politiques belges hypocrites.
 
En effet, je ne fais que dire tout haut ce que la plupart des Belges pensent tout bas. Mon parti politique est injustement étiqueté d'antidémocratique par les autres. Les Congolais ne doivent pas se faire d'illusions, depuis l'accession du Congo à l'indépendance, c'est bien différents gouvernements belges socialistes, libéraux et socio-chrétiens qui soutiennent les régimes dictatoriaux successifs au Congo.
 
Maintenant tout est fait par les libéraux et les socialistes belges pour imposer à la tête de la RD Congo monsieur Joseph Kabila à la faveur d'une parodie d'élections, (alors que) cet individu est connu par nos services de renseignements comme étant un sujet d'origine Rwandais, ayant passé par plusieurs petits métiers : vendeur ambulant des *ufs à Kigoma, avant de passer pour un taximan en Tanzanie et finir comme ancien militaire de l'armée patriotique Rwandaise.
 
Les pauvres Kinois qui ont applaudi quand Kabila disait le plus innocemment la vérité qu'il fut vendeur des *ufs en Tanzanie, ont cru voir en lui un homme sage*pourtant tout le parterre des politiciens informés présents pendant la cérémonie d'hier (25 Juin 2006) savaient bien que le Monsieur parlait bel et bien de son histoire, de ses origines et indiquait qu'il est parvenu à arracher ce que ces commanditaires rwandais attendent depuis belle lurette de son passage à la tête de la RDC. Les congolais, peuple applaudisseur, peuple danseur, n'auront à s'en prendre que contre eux-mêmes : il ne suffit pas de balbutier quelques mots de Lingala pour se faire dédouaner ; « tout le monde qui s'exprime en latin n'est pas un romain », disait Titus !   
 
Tous les hommes politiques belges sont au courant de la responsabilité de Joseph Kabila en tant que chef militaire de l'AFDL avec son cortège de massacres, épurations ethniques, génocides et crimes de guerre contre des populations civiles pendant la rébellion visant à chasser le dictateur Mobutu du pouvoir dès 1996. Les rapports décrivant ce génocide tiré du travail de Monsieur Roberto Garreton, de Madame Emma Bonino (prédécesseur de Louis Michel aux affaire humanitaire de l'UE), de Monsieur Aldo Ajello et de Monsieur Christopher Harland, sont consignés depuis 1997 aux Nations Unis et à l'union européenne, mais curieusement tout le monde fait semblant de les ignorer. Ce beau monde aux têtes bien-pensantes oublie que la vérité est très têtue. A beau mentir qui vient de loin ! 
 
Combien d'hommes politiques belges ont-ils déjà levé un seul doigt pour demander l'établissement d'un Tribunal Pénal International pour la RD Congo afin de juger tous les responsables de 5 millions de Congolais morts depuis 1996 ? La politique de l'autruche caractérise bien le monde politique belge ; on ne voit que ce que l'on veut bien voir et on n'entend que ce que l'on veut bien entendre.
 
Mon parti n'est nullement responsable de l'imbroglio politico maffieux dont les intérêts économiques se moquent obstinément des conditions sociales du peuple congolais. Il est facile de sortir un nègre de la jungle, mais il est très difficile de sortir la jungle qu'il y a dans la tête des congolais. C'est aux Congolais eux-mêmes de se prendre en charge et d'arrêter de se comporter comme des éternels mendiants, éternels danseurs, éternels pleunichards, éternels applaudisseurs*Il faut surtout arrêter de croire que la solution à leurs problèmes viendra de l'Occident qui ne réfléchit qu'en terme d'intérêts économiques.
 
Franchement, élire un ancien vendeur des *ufs cuits ou un taximan à la tête de la RD Congo n'est pas la responsabilité des occidentaux quand bien même ceux-ci veulent voir cela arriver pour garantir une extraction des richesses minérales de ce pays sans que personne n'ait à les questionner. 
Mon parti souhaite vivement que les conditions sociales des Congolais s'améliorent en RD Congo afin que les 25 à 30 milles Congolais qui vivent en Belgique puissent retourner dans leur pays.
 
La Belgique ne peut pas supporter indéfiniment toute la misère du Congo. Je vous ai tout dit : cesser de danser, cesser de croire que danser même en priant enlèverait vos misères ! Même s'il existait, Dieu ne serait pas là seulement à s'occuper des pleurs de pauvres congolais. Prenez votre destin en mains, soyez maîtres de votre destin, c'est tout ce qu'un vrai ami du Congo peut vous dire pour l'instant.
 
Peuple congolais, rendez un peu de dignité à l'Afrique, au monde et surtout à Dieu que vous croyez être congolais, à l'image duquel vous avez été créés : aussi bien le bandit de Lumumba, l'incompétent de Kasa-Vubu, le sanguinaire de Mobutu que son alter ego de Laurent Désiré Kabila sont venus des entrailles congolaises. De ce fait, ils n'étaient que l'image de votre société. Il ne faut pas les rejeter comme s'ils sont sortis d'autres cieux. Vous devez mériter vos dirigeants.
 
Sincèrement,
Patrick Cocriamont 
Député de la Couronne Belge


 An individual has not started living until he can rise above the narrow confines of his individualistic concerns to the broader concerns of all humanity.

FARCE POST-ELECTORALE

---------- Message transféré ----------
De : Philippe <philippekabeya@yahoo.fr>
Date : 18 janvier 2012 13:59
Objet : [PARLEMENTAIRE_DEBOUT_DE_UDPS] Compilation des résultats des législatives : Ceni - Experts américains, le divorce ! (Le Phare)
À : GTDS_cd <gtds_cd@yahoogroupes.fr>


 

Mercredi, 18 Janvier 2012 23:53
Arrivés à Kinshasa juste après la fête de Nouvel An, à la demande de la CENI (Commission Electorale Indépendante), les experts américains appartenant à l’Ong NDI (National Democratic Institute) sont rentrés précipitamment, le week-end dernier, dans leur pays d’origine. A en croire diverses sources, les violons ne se sont pas accordés entre les parties congolaise et américaine au sujet des termes de référence en rapport avec le travail de compilation des résultats des élections législatives nationales qu’elles étaient censées réaliser ensemble.
On laisse entendre que les partenaires de la CENI tenaient non seulement à jeter un coup d’oeil dans le serveur, mais aussi à vérifier l’état du fichier électoral, la cartographie des bureaux de vote, des procès-verbaux de dépouillement des résultats signés par les témoins des bureaux et même celui des urnes et des bulletins de vote, etc. Au fait, les experts américains cherchaient à obtenir des données physiques et techniques pouvant leur permettre d’émettre des avis autorisés sur le caractère transparent ou non des résultats des scrutins législatifs nationaux du 28 novembre 2011.
Ils auraient refusé, indique-t-on, d’être traités comme de simples caisses d’enregistrement des chiffres pré-compilés par le personnel de la CENI et déjà rendus publics dans les médias ainsi que le site Internet de cette institution d’appui à la démocratie.
Selon certaines indiscrétions, les experts américains ont placé la barre très haut, dans leur quête de la vérité des urnes. En effet, il était matériellement et techniquement impossible à la CENI de mettre à leur disposition son serveur central, son fichier électoral, les procès-verbaux de dépouillement des scrutins, les bulletins de vote ainsi que les urnes, plus près de deux mois après le vote. L’opération était d’autant compliquée que, suite à divers impondérables politiques et techniques, la plupart des données de nature à concourir à la contre-vérification des résultats avaient été soit perdues, soit détruites, soit encore complètement maquillées.
Le serveur central et le fichier électoral par exemple, ne pouvaient être mis à la disposition de témoins gênants, en raison du tabou entretenu à leur sujet par la CENI depuis qu’elle avait récupéré les opérations pré-électorales des mains de la défunte CEI (Commission Electorale Indépendante).
S’agissant des bulletins de vote et des urnes, leur revisitation n’est plus possible, car détruits ou vendus aux enchères après le transfert des procès-verbaux des résultats vers les centres locaux de compilation. Point n’est besoin de rappeler que la sécurité de ces kits sensibles laissaient à désirer. Il y a lieu de relever à ce sujet que certains matériels électoraux avaient connu les affres des intempéries (pluies, soleil, humidité), tant et si bien qu’ils ne peuvent renseigner sur rien. L’unique alternative était de leur faire endosser du «prêt à porter».
A en croire certains analystes politiques et spécialistes du droit, la tradition, aux Etats-Unis d’Amérique, veut que les urnes soient scellées, avec leur contenu (bulletins de vote), peu après la fin des opérations de dépouillement, pendant toute la durée de la législature (4 ans). Ainsi, dans l’hypothèse d’un contentieux électoral, le recomptage manuel des voix peut intervenir à tout moment. Et, dans le cas où il y a un ou plusieurs cas de recomptage de voix, on déscelle et rescelle les urnes autant de fois que l’exigent les circonstances.
D’où, dans l’entendement des experts américains, les urnes ayant recueilli les voix des électeurs congolais le 28 novembre 2011 devaient rester scellées jusqu’à l’épuisement total des cas de contestation des résultats. Ils ne pouvaient comprendre que moins de deux mois après les élections et surtout avant que la Cour Suprême de Justice n’ouvre les dossiers des contentieux électoraux pour les législatives nationales, les urnes ne puissent plus être disponibles comme pièces décisives pour la contre-vérification des résultats des scrutins.
Bref, face à un tas de documents de travail indisponibles pour la bonne lecture des résultats compilés par la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante), les experts américains ont estimé plus honnête et prudent de rentrer au bercail.
Que va-t-il se passer après ?
Comme pour la présidentielle, la CENI va naturellement proclamer les résultats provisoires des élections législatives nationales, sans tenir compte de la rupture de la confiance entre elle ses partenaires tant internes qu’externes. Un membre du gouvernement a du reste apporté de l’eau à son moulin, en faisant remarquer que les experts américains n’avaient pas pour mission de certifier les résultats. En posant une panoplie de préalables avant de travailler en synergie avec la CENI, a-t-il relevé, ils ont outrepassé leur mission. Au nom de sa souveraineté, la RDC est en droit de s’opposer au diktat de ces experts venus à l’invitation de la partie congolaise.
Le dossier de la transparence contestée des élections tant présidentielle que législatives nationales est-il pour autant clos ? Il est permis d’en douter, au regard des réactions négatives que continuent de susciter, dans les chancelleries occidentales, les résultats compilés par la Commission Electorale Nationale Indépendante. Ce qu’il faut le plus craindre désormais est que les puissances politiques, militaires, économiques et industrielles de notre planète, de concert avec des institutions financières telles que la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International ne confirment, à bref délai, leur rupture avec les hommes au pouvoir à Kinshasa.
Pays post-conflit en phase de refondation en tant qu’Etat et de reconstruction économique, industrielle et infrastructurelle, la République Démocratique du Congo dispose-t-elle de reins suffisamment solides pour soutenir un embargo politique, diplomatique et financier ? Ou encore, les « grands » de ce monde vont-ils fermer les yeux sur les tripatouillages du 28 novembre 2011 et des centres de compilation pour ne pas compromettre les chances de renaissance du Congo en tant que Nation et future puissance économique et industrielle du continent africain ? L’avenir ne manquera pas de nous fixer dans les semaines à venir.
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Friday, January 13, 2012

CONGO: ELECTIONS OU FARCE?

You should know this: there is not democracy in D.R. Congo, there is only a leader who manipulated results to be in power. He! Do not play games, it is serious matter, leader in office for nothing! Congo is the same, in Russia, people are still contesting election results, where is democracy. Tomorow, Putin will be sitting at the same table with the world leaders, and Kabila will be visiting some cities as President. Shame to the world and to democracy... Why are u so quiet, stand and speak because  it is not true!!! In Syria, killing is on, until when? Kadhafi is gone, Mubarack is sick...what is next?



----- Mail transféré -----
De : "A.Kalemba@kpnplanet.nl" <A.Kalemba@kpnplanet.nl>
À : CHALLENGER DIYI DIA NZAMBI <challengerdiyi@yahoo.fr>
Envoyé le : Jeudi 12 Janvier 2012 22h30
Objet : l'Eglise catholique persiste et signe : la vérité des urnes !

Lundi, 09 Janvier 2012 23:07
Quarante huit heures après la publication du communiqué de la Cenco (Conférence épiscopale nationale du Conco) déplorant des injures dont le Cardinal Archevêque de Kinshasa est l’objet, l’Eglise catholique romaine de La RD Congo vient de lever l’option face au danger qui guette l’avenir de la nation. C’est au cours d’une messe spéciale célébrée par plusieurs dizaines d’officiants dont le principal était l’Evêque auxiliaire de l’archidiocèse de Kinshasa, Mgr Kisonga que cette option a été levée.
« Toute autorité vient de Dieu et non pas nécessairement son exercice » : c’est le thème principal de l’Evangile du jour (tiré dans Matthieu 22,15-22) qui a été développé à l’intention des chrétiens catholiques venus très nombreux participer au culte.
D’abord l’abbé Bosangia, l’orateur et interprète de l’homélie du jour en vue de faciliter la compréhension des fidèles, a commencé par dévoiler le but de ce grand rassemblement des chrétiens.
Il s’agissait d’implorer la bénédiction de Dieu sur les assises de l’assemblée plénière extraordinaire de tous les évêques de la RD. Congo, dont les travaux s’ouvrent ce lundi 9 janvier.
Par ailleurs, les évêques espèrent, à l’issue desdits travaux, grâce aux différentes réflexions qui seront développées, obtenir l’assistance de Dieu en vue d’aider notre nation qui traverse particulière de son histoire à se remettre sur les rails. Commentant le thème de l’Evangile, l’orateur s’est appesanti sur la différence entre l’autorité qui vient réellement de Dieu et celle des hommes qui l’exercent à des fins égoïstes.
Fustigeant la récupération politique de ce passage biblique « Toute autorité vient de Dieu » par des acteurs politiques qui en ont fait leur verset préféré, le prédicateur a démontré comment distinguer l’autorité qui vient de Dieu de celle des hommes.
La manifestation de l’autorité venant de Dieu et l’exercice avec la volonté divine, est le bien être de tous. Mais, lorsque l’autorité s’exerce à des fins égoïstes sans se préoccuper du bonheur de la population, une telle autorité n’est pas de Dieu. Si elle l’est, mais son exercice ne relève nullement de la volonté de Dieu, a explicité l’abbé « Boss » comme l’appellent affectueusement ses paroissiaux.
Sur ce point, il a cité l’exemple de la Bible de Saül qui s’est vu vomi par Dieu qui l’avait établi pour avoir abandonné sa volonté, pour remonter Samuel.
«Je préfère être crucifié pour la vérité que de crucifier la vérité», dixit Cardinal Malula
Affirmant son attachement à la vérité et la justice, l’Eglise catholique de la République démocratique du Congo refuse désormais de céder au chantage et autres menaces et intimidations.
Ses pasteurs ne comprennent pas l’ambiguïté dont les dirigeants font montre à leur égard. Lorsque l’Eglise construit des écoles et hôpitaux, on applaudit. Mais quand il faut dénoncer ce qui ne va pas, on crie à la politisation de l’Eglise.
Face à cette attitude, l’Eglise ne se laissera plus intimider par quiconque. Car, de la même manière elle investit dans des domaines non religieux, elle doit tout évangéliser, les hommes comme les institutions.
« A ceux qui refusent à l’Eglise de parler de la politique alors qu’ils applaudissent quand elle s’occupe du domaine de la santé ou de l’éducation, domaines non religieux à première vue comme la politique, nous demandons de terminer la phrase de Jésus en Mt 22,21 : Rendez à Dieu ce qui est à Dieu. Autant l’on doit respecter les organisations sociopolitiques légitimes des hommes, autant sinon plus, l’on doit craindre Dieu et donc respecter l’ordre qu’Il établit. L’Eglise dont on reconnaît le rôle d’évangéliser, doit justement tout évangéliser : les hommes aussi bien que les structures et institutions de tous ordres (politique, économique, …) ».
Par ailleurs, ceux qui s’amusaient à déclarer que le Cardinal Monsengwo n’est que le chef de l’Eglise de Kinshasa doivent déchanter. Car, toute l’Eglise du Congo témoigne son soutien et sa solidarité au Cardinal, surtout en ce qui concerne l’attachement à la vérité et sa lutte contre le mensonge et la tricherie.
« Aujourd’hui, l’Eglise de Kinshasa et d’ailleurs en RD. Congo, en commençant par son Pasteur le Cardinal Laurent Monsengwo, prêche la vérité, condamne toute tricherie et tout mensonge, se souvenant bien plus de cet enseignement du Cardinal Malula d’heureuse mémoire qui disait : Je préfère être crucifié pour la vérité que de crucifier la vérité ».
Fidèles à cette vertu, les catholiques déclarent n’obéir qu’à toute autorité légitime et à des lois justes, et non à toute autorité issue de la tricherie et du mensonge. Et l’Eglise lève l’option de ne plus se taire face à toute autorité qui contrevient la justice, et promet d’intervenir chaque fois que la dignité humaine est en jeu.
Avant la bénédiction finale par Mgr Kisonga, l’officiant principal de la messe, les chrétiens ont été invités à suivre un chronogramme dénommée « Programme en vue du rétablissement de la légitimité du pouvoir en RDC » que l’Eglise vient de mettre en place dans le but de faire respecter la vérité des urnes.
Ce programme a été confectionné avec le concours de plusieurs associations et mouvements tant des religieux que des laïcs catholiques. Parmi ces mouvements, on cite l’ASUMA (Association des supérieurs majeurs) pour les prêtres, l’USUMA (Union des supérieurs majeurs) pour les sœurs et religieuses, les agents pastoraux qui sont des abbés tenanciers des paroisses, le CALCC. Tout chrétien catholique est invité à le respecter scrupuleusement.

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