BRUNO KASONGA bkasonga@yahoo.fr [lekasai]
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Bruno Kasonga
Today at 11:42 AM
Ci-dessus: La dernière tasmanienne aborigène à gauche et à droite des métisses euro-aborigènes.
Cinq pays ont pratiqué l’immigration choisie d’européens dans le but de blanchir la population par le métissage et la préservation de la « race » blanche.
Brésil :
En 1945, le gouvernement du Brésil promulgue le décret qui suit : ”
Dans le choix des immigrés s’installant au Brésil, le besoin de
préserver et de développer la composition de la population, la
possession de caractères physiques européens doit être mise en valeur et
promue.” Le résultat a été la génération de complexe de la couleur de peau et l’émergence d’une pensée générale selon laquelle il faut avoir des enfants plus clairs que soit pour avancer. Le Brésil a aujourd’hui dans ses papiers officiels plus de 30 termes qui désignent des couleurs de peaux ou des degrés de métissage différents.
Cuba:
a pratiqué la politique dite du « Blanqueamiento », politique active
d’immigration espagnole notamment, 1 millions de dollars ont été dépensés sur la période de 1898 à 1902. Curieusement, cela correspond à la période d’occupation du pays par les USA, qui ont activement soutenu ce régime raciste. Cela a contribué à la marginalisation de la population afro-cubaine.
Jamaique :
Avec
l’abolition de l’esclavage en 1894 à la Jamaïque, les afro-descendants
ne constituaient pas des candidats intéressants pour les anciens
maîtres. Ces derniers répugnaient à l’idée de devoir payer leurs anciens esclaves. Sous l’impulsion de Lord Seaford, un planteur européen de la Jamaïque, un village exclusivement européen sera créé et on fera appel à l’immigration allemande.
Le plan a échoué car
le métissage ne permettait la « production » d’un nombre suffisants de
blancs et les européens n’arrivaient pas en nombre assez important pour
augmenter les proportions de personne de type caucasien. Il reste
toutefois des stigmates de cette période sur certaines îles de la
Jamaïque où certaines villes comme Germantown ont des populations métissées très proches du phénotype européen.
L’Afrique du Sud:
a activement pratiqué le blanchiment de la population jusque dans les dernières heures de l’apartheid. L’objectif était de maintenir avec l’aide des nations européennes le pied de la civilisation blanche en Afrique, le grand projet étant l’Afrique sans les « cafres » (Kaffirs, équivalents de nègres en Afrikaans, c’est un emprunt à l’Arabe). Les immigrés européens se voyaient favorisé, on dépossédait les Africains de leur terre pour les donner aux Européens t on a créé des ghettos appelés « Bantoustan » où on parquait les Africains à l’image de ce qui s’est fait aux USA avec les Indiens.
Le plan initial était le même. Les immigrés asiatiques Chinois,
Koréens, Taiwainais, Japonais et même Indiens pouvaient recevoir le
titre de « Blancs Honorifiques » (« Honorary White »), oui la folie
européenne n’a pas de limite quand il s’agit d’aller dans l’absurde pour
leur projet de domination du monde et d’extermination des autres
peuples.
Australie :
On
ne peut pas parler d’un tel classement sans évoquer la plus grande
réussite blanche en matière d’extermination totale d’un peuple :
l’Australie. Là, les européens ont fait fort. Redoublant de toute forme
d’ingéniosité dans leur projet d’extermination, les immigrés
clandestins européens installés en Australie en provenance d’Angleterre,
les Anglais ont activement exterminé les Aborigènes.
De 1869 à 1970, l’Australie
avec l’immigration Restriction Act a banni toute immigration non
blanche et a autorisé la chasse (oui vous avez bien lu, la chasse) à
l’Aborigène. La loi considérait les aborigènes comme de la
faune (au même titre que les Kangourous, les bœufs) jusqu’en 1970.
(Droits de l’homme, nous voici).
Ensuite, la loi australienne a imposé l’enlèvement et la séparation des familles aborigènes.
Les enfants aborigènes étaient placés dans des familles blanches et
métissés de force (c’était parfaitement légal et encouragé).
La population aborigène non métissée aujourd’hui représente à peine 200, 000 individus contre 750,000 autour de 1800. Les métissés sont aujourd’hui rejetés par les Aborigènes comme n’appartenant pas à leur communauté. Les noms aborigènes ont eux même quasiment disparu.
L’état
australien refuse de se repentir d’une quelconque faute jusqu’à ce
jour. La repentance, parait-il, c’est pire que le racisme. Il y aurait
même du racisme anti blanc en Australie. Il se peut que certains jeunes
enfants caucasiens se fassent régulièrement piqués leurs pains au
chocolat par des vilains aborigènes massivement déracinés et appauvris
vivant dans des quasi camps de concentration, c’est dire l’ampleur du
problème.
Source:
Bruno KASONGA
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