Thursday, April 28, 2011

SEX OFFENDERS









Couple that held girl 18 years pleads guilty

Posted: Apr 28, 2011 3:08 PM ET

Last Updated: Apr 28, 2011 3:08 PM ET

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Beginning of Story Content

A convicted sex offender and his wife have pleaded guilty to charges of kidnapping and raping a Northern California girl when she was 11 and holding her captive for nearly two decades.
Phillip Garrido, who fathered the two children of victim Jaycee Dugard, entered the plea Thursday under a surprise deal with prosecutors that calls for a sentence of more than 430 years to life.
His wife, Nancy Garrido, also pleaded guilty in a deal that calls for 36 years to life.
The couple appeared at a hastily arranged court hearing after having pleaded not guilty earlier this month.
Dugard was snatched from her family's South Lake Tahoe street in June 1991 while walking to a school bus stop.
The plea deals will spare Dugard, now 30, and her two daughters, ages 13 and 16, from having to testify at a trial.

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Wednesday, April 27, 2011

Les morts ne sont pas morts!











"Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ?"
Le documentaire de Marlène Rabaud et d’Arnaud Zajtman explore plusieurs pistes


France O diffuse ce mercredi un documentaire inédit sur les responsables de l’assassinat de Laurent-Désiré Kabila en 2001. Les journalistes Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman. Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? offre un éclairage intéressant sur la disparition de l’ancien chef de l’Etat congolais.
Qui sont les responsables de l’assassinat de Laurent-Désiré Kabila, chef de l’Etat congolais de 1997 à 2001 et père de l’actuel président de la République Démocratique du Congo (RDC) ? Les journalistes Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman ont mené l’enquête. Le résultat : Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ?, un documentaire de 52 minutes qui sera diffusé ce mercredi soir sur la chaîne française France O.
Laurent-Désiré Kabila est assassiné dans son bureau le 16 janvier 2001 par un proche : un ex-enfant soldat membre de sa garde rapprochée, Rachidi. Ce dernier sera tué quelques heures plus tard par le fidèle aide de camp de "Mzee", le surnom du président Kabila, Eddy Kapend. Le militaire sera d’ailleurs accusé plus tard d’avoir tenté de s’arroger le pouvoir. Car c’est lui qui contrôle les généraux de Kabila après sa mort et en attendant que sa succession soit organisée. Quelques heures après sa mort, Joseph Kabila succède à son père à l’âge de 29 ans.
Les anciens correspondants de BBC en RDC, Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman, ont rencontré ceux qui ont été accusés de cet assassinat et fait l’objet d’un procès inique, selon la communauté internationale. Parmi eux, Antoine Vumilia, un ex-agent de renseignements qui n’a pas eu la chance comme ses co-accusés, notamment George Mirindi de fuir et de trouver refuge en Suède, l’un des pays qui a accordé l’asile aux victimes de la parodie de justice subie par les assassins de Kabila. George Mirindi, qui a reçu Arnaud Zajtman dans son exil suédois, est l’un des complices présumés de l’assassinat de Kabila. Il a attendu Rachidi dans une voiture aux abords des bureaux de l’ancien président congolais.
Beaucoup de boucs-émissaires et de nombreux suspects
Les pistes explorées sur les éventuels assassins de Laurent-Désiré Kabila font, entre autres, intervenir une attachée militaire de l’ambassade des Etats-Unis en RDC. Laurent-Désiré Kabila était devenu gênant pour l’administration américaine. Tout comme il irritait les partisans du commandant Masasu, compagnon d’arme du président congolais et recruteur de son armée d’enfants soldats, qui sera sommairement exécuté suite aux ordres de Laurent-Désiré Kabila. Le président congolais était également dans le collimateur d’un négociant libanais de diamants, lésé par un monopole accordé à une entreprise israélienne par Laurent-Désiré Kabila. Poursuivi, l’homme d’affaires trouve refuge dans les rangs de la rébellion d’alors du Rassemblement congolais pour la Démocratie (RCD), soutenue par Rwanda et opposée à Kabila père. Sur les traces du négociants, des soldats directement sous les ordres de l’actuel président Joseph Kabila exécuteront onze Libanais. Un assassinant qui oriente également les soupçons sur l’actuel président congolais qui apparaît comme le plus important bénéficiaire de la mort e son père.
Bien documenté, Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? qui a tout d’un bon film policier, est une enquête qui éclaire sur les mobiles des éventuels assassins de l’ancien chef de l’Etat de la RDC. Mais surtout, ce documentaire enfonce les clous : les assassins de Laurent-Désiré Kabila ne sont pas ceux qui croupissent dans l’insalubre prison de Kinshasa, la capitale congolaise.
Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila
de Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman
Diffusé sur France Ô le mercredi 27 avril 2011 à 20 20h35



R.D.C.

Tuesday, April 26, 2011

The bad guy is busy killing protesters










 

La communauté internationale doit-elle intervenir en Syrie ?

Nader Daoud APL’entrée lundi 25 avril de chars et de quelque 3 000 soldats de l’armée syrienne à Deraa, qui a fait au moins 20 morts, a marqué un tournant dans la gestion du mouvement de contestation par le régime du président Bachar Al-Assad. Après les espoirs de réforme suscités par la levée de l’état d’urgence jeudi 22 avril, le président syrien aurait-il définitivement opté pour la “solution militaire” ? Pour Amina A., auteure du blog A Gay girl in Damascus et sympathisante du mouvement de contestation, “pendant des années, les Syriens se sont demandés si Bachar Al-Assad serait le ‘Gorbatchev syrien’, un réformateur (…) ou si il serait forcé à partir” ; après Deraa, “le choix est seulement de savoir si ce régime honni sera démis par une révolution ou si nous tombons dans une guerre civile”.

De nouveaux affrontements ont opposé l’armée syrienne aux manifestants à Deraa le 26 avril 2011.
Avec l’escalade de la répression depuis vendredi, qui a fait des dizaines de morts, le spectre du massacre de Hama en février 1982 hante la Toile syrienne. Le président Assad père avait alors envoyé ses troupes à Hama écraser une révolte des Frères musulmans. Une répression qui avait fait entre 10 et 40 000 morts parmi la population sunnite de la ville.
Face à “la violence brutale” dont a fait montre le régime syrien, les Etats-Unis sont sortis lundi de leur réserve et ont dit réfléchir à plusieurs possibilités, “y compris des sanctions ciblées” à l’encontre des hauts responsables syriens. Ils ont été rejoints par d’autres appels au sein de la communauté internationale. Désormais, la question se pose ouvertement sur la Toile : la communauté internationale va-t-elle intervenir en Syrie ?

L’administration Obama envisage des sanctions contre la Syrie.
Dans un billet, le 23 avril, Leif Eriksson, auteur du blog Other Suns, estimait qu’une intervention de la communauté internationale en Syrie n’aurait lieu que si une ligne rouge était franchie, à l’instar de “l’usage d’armes lourdes -artillerie, tanks, avions et hélicoptères- contre les manifestants”. Dans un nouveau billet, celui-ci estime que “hier, le régime syrien a franchi cette ‘ligne rouge’” à Deraa. “Alors, les bombes de l’OTAN vont pleuvoir sur les tanks syriens prochainement ?, demande-t-il, alors que l’on se rapproche d’un scénario à la libyenne.
Et de répondre immédiatement : “Non, c’est hautement improbable ; et le régime de Bachar Al-Assad le sait et l’a pris en compte en projetant de déployer des tanks contre les places fortes rebelles”. Les pays de l’Alliance atlantique sont déjà engagés en Libye et n’auront pas le soutien de la Ligue arabe pour une intervention en Syrie, avance-t-il. Pour Leif Eriksson, la peur, notamment des Etats-Unis et d’Israël, des risques inhérents à la chute du régime de Bachar Al-Assad en terme de stabilité régionale et intérieure est un frein important.
Shelli Bee, du blog The Syrian truth, ajoute par ailleurs que “Washington sait qu’elle a une capacité limitée d’influence sur Damas, qui fait déjà l’objet d’une série de sanctions économiques américaines et est un proche de l’Iran, ennemi des Etats-Unis”. “Mais, si les gens continuent à manifester et si le régime continue à tirer, l’administration Obama pourrait être confronté au choix le plus difficile qu’il ait eu à faire au Moyen-Orient”, estime Walter Russell Mead sur son blog The American Interest, analysant tous les facteurs entrant en ligne de compte.
Sondage
Pourtant, la Toile arabe anticipe et débat déjà de l’éventualité d’une intervention étrangère en Syrie. Les auteurs de la page Facebook du groupe Youth Syria for Freedom invitent leurs membres à aller voter ‘oui’ “pour influencer les choix de la communauté internationale” à un sondage lancé par Lefigaro.fr sur l’opportunité d’une telle intervention (en arabe ci-dessus). L’invitation du groupe donne aussitôt lieu à des réactions contrastées.
Ibraheem
Bien entendu, je ne soutiens pas, voulez-vous d’une nouvelle Libye ? Les forces de l’OTAN suggèrent désormais de rentrer sur les terres libyennes et cela signifie l’occupation”.
Osamah
“Avant d’inciter à répondre oui, j’espère que vous prenez en considération l’intervention internationale qui a eu lieu en Irak ou actuellement en Libye. Nous n’en voulons pas et nous sommes maîtres de notre pays. Mais, si c’est pour imposer des sanctions sur le régime au pouvoir, ses associés et ses proches, geler leurs avoirs et les poursuivre, alors nous sommes pour une intervention”.
Maher
“L’occupation est mieux que le vandalisme par les fils de notre pays (…). Je soutiens toute intervention pour renverser le régime”.
Pour le groupe Youth Syria for Freedom (en arabe ci-dessous), la distinction doit toutefois être faîte entre “ingérence politique et intervention militaire. Bien entendu, nous demandons une ingérence politique seulement (…) parce que le temps est venu au Conseil de sécurité de préparer la condamnation du régime de Bachar Al-Assad et d’imposer des sanctions sur les hommes du système. L’intervention militaire (…) nous ne l’accepterons pas, bien sûr, et nous la considérons comme une occupation supplémentaire à celle de la famille Assad. L’intervention occidentale pour isoler et paralyser le mouvement et empêcher nos hommes de se rendre… C’est une forme de pression qui est utile désormais”.
Deux types d'intervention étrangère - Syrian youth révolution
Catégorique, Amina A., auteure du blog A Gay girl in Damascus, refuse : “Je crois dans notre lutte pour la démocratie et, comme beaucoup d’autres en Syrie, je ne veux pas d’une ‘aide’ étrangère quand il est question d’amener la démocratie à notre chère Syrie. Nous ne cherchons pas ni ne voulons du type d’aide qui est offerte par l’Arabie saoudite, le Qatar, les Emirats arabes unis, les Etats-Unis ou la France : nous ne sommes pas aveugles et nous voyons très bien que cette ‘aide’ est seulement offerte quand cela est vu comme servant leurs intérêts”.
Et d’interpeller le président américain Barack Obama : “laissez-nous trouver notre propre chemin vers la liberté et empêchez vos vassaux à Riyad, Beyrouth et Tel Aviv de nous causer du tort. Restez à vos places et laissez-nous choisir pour la première fois depuis des décennies le type de gouvernement que nous, peuple syrien, voulons”. Car, nombreux sont ceux qui pensent, à l’instar d’Ayham qui lui répond, que “toute intervention ou sanctions étrangères ne feront que renforcer le régime, causer du tort à la majorité de la population et à l’infrastructure civique du pays”.
(Crédit photo : Nasser Daoud/AP)


Friday, April 22, 2011

GOOD FRIDAY MESSAGE FROM THE HOLY FATHER











Pope talks to public in rare TV broadcast

 

Pope Benedict XVI waves to the faithful gathered at the Colosseum at the end of the Way of the Cross on April 22, 2011 in Rome, Italy.

Photograph by: Franco Origlia, Getty Images

ROME, April 22 (Reuters) - Pope Benedict took questions from a child in Japan, a Muslim woman in Ivory Coast and a mother caring for a son in a permanent coma in his first televised dialogue with the public, broadcast on Good Friday.
The German-born pontiff, like his Polish predecessor John Paul, has allowed rare televised interviews with journalists but his contact with the public marked a new step for the leader of the world’s 1.2 billion Catholics.
The interaction was shown on Italian television in mid afternoon at around the time Christ is believed to have died. Later the pope attended the traditional Via Crucis (Way of the Cross) procession to commemorate Christ’s crucifixion and death.
Though heavily controlled by Vatican officials, the television broadcast, called "In His Image", represented an attempt to freshen the image of the Church by the pope, who has lamented the decline of Christian faith in the Western world.
Following roughly the format of an Italian TV chat show, with a moderator and a panel of experts before a studio audience, it included pre-recorded responses from the 84-year old pope speaking via video link.
Sitting at his desk, the pope told the mother of a man who has been in a coma for a long time that her son’s soul was still in his body and that he could feel the presence of love.
"The situation, perhaps, is like that of a guitar whose strings have been broken and therefore can no longer play," the pope told the Italian mother, who spoke beside her son.
SUFFERING
To a seven year-old girl in Japan asking him to explain the suffering in her country after the March 11 earthquake and tsunami which killed 28,000 people, he pointed to Jesus and said suffering was not in vain.
"We do not have the answers but we know that Jesus suffered as you do," the pope said.
Responding to a request for advice from a Muslim woman in Ivory Coast, which is emerging from a conflict in which at least 1,500 people died and a million were forced to flee, the pope said people should look to Christ as an example of peace.
"Violence never comes from God, never helps bring anything good, but is a destructive means and not the path to escape difficulties," he said.
He also told youth in Iraq that the Church was encouraging dialogue between religions.
Later on Friday he stood before tens of thousands of people holding candles and watched the solemn procession around the ancient ruins of the Colosseum.
The ceremony at the site associated with early Christian martyrs is one of the main services before Easter, the climax of the Christian year.
Wearing a red cape, the pontiff listened to meditations composed by Mother Maria Rita Piccione, an Augustinian nun who is one of few women to have been given the task for the 14 "stations of the cross".
On Saturday, Benedict will say an Easter Eve mass and on Sunday will deliver an "Urbi et Orbi" (to the city and the world) blessing and message.


Read more: http://www.ottawacitizen.com/news/Pope+talks+public+rare+broadcast/4660450/story.html#ixzz1KIqmtnAk

Thursday, April 21, 2011

LA MORT











RDC : un parlemantaire décède lors d’une séance


Un parlementaire du parti présidentiel, Jean-Marie Kamoni, est décédé jeudi lors d’une séance de l’Assemblée nationale, rapporte Le Figaro. La rapporteure adjointe de l’Assemblée, Sophie Kakudji, a affirmé qu’ "il est sorti de la salle pour téléphoner et il a eu une crise, on l’a emmené à l’hôpital où l’on a constaté son décès". Le député du Parti du peuple pour le reconstruction et la démocratie (PPRD, au pouvoir) venait juste de faire une intervention sur les amendements au projet de loi électorale. La séance parlementaire a immédiatement été suspendue après le décès. Jean-Marie Kamoni était un élu de la ville de Kisangani, (nord-est). En 2006, il a été vice-ministre aux Mines dans le gouvernement de transition.



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Sunday, April 17, 2011

Are we crazy? No, we are blessed









My wife and I have eight children (no twins). No, it is not a blended family, nor are we members of some cult living off the land and hugging trees in the back hills of rural Ontario.
This article on large families was a breath of fresh air and very humorous to a father who thought he had heard all the comments (both positive and derogatory) that have come with having a large family. Our children (five girls and three boys) range in age from eight to 26.
Certainly, there is a huge financial consideration, yet our children know and accept that we do not have the newest or best of furniture and electronics, cars (ours is a passenger van), we do not travel to exotic destinations and the older ones have student loans.
Yet there is something so utterly special about being in their presence that I have difficulty putting it into words. There is a sense of contribution, caring, understanding and compassion that has become or is becoming part of their fabric as individuals. Albeit, some slower than others. And, yes, they are or will be taxpayers.
I have now been called a grandpa by strangers on several occasions when accompanying our eight year old, but we would do it all again at the drop of a dime!
In response to the question that we have heard so many times, Are you crazy?, my answer is: No, blessed!
GREG MAIKA, Carp
 

  His letter is about raising a large family in todays social and economic climate.

Longue histoire franco-africaine









Message transféré ----
De : Darnace TOROU <darnace@hotmail.com>
À : Benoît Awazi Kungua <benkung01@yahoo.fr>
Envoyé le : Ven 15 avril 2011, 21h 06min 21s
Objet : Francafrique, La Raison d'Etat 1

Francafrique, La Raison d'Etat 1 6
http://www.youtube.com/watch?v=6dSN1XEdS5M
Francafrique, La Raison d'Etat 2 6
http://www.youtube.com/watch?v=OZP1ZdXuE-0&feature=related
Francafrique, La Raison d'Etat 3 6
http://www.youtube.com/watch?v=JM7Zu0HtmE8&feature=related
Francafrique, La Raison d'Etat 4 6
http://www.youtube.com/watch?v=_HhVciIYdrw&feature=related

Francafrique, La Raison d'Etat 5 6
http://www.youtube.com/watch?v=dlKnM3fFmIc&feature=related
Francafrique, La Raison d'Etat 6 6
http://www.youtube.com/watch?v=nbBchBq2t88&feature=related

L'Afrique, berceau de toutes les langues







Nous sommes tous des Africains... Les recherches ont déjà apporté des preuves (fossiles de crâne, ADN), que l'homme moderne est originaire d'Afrique. Cette fois-ci, c'est une étude linguistique qui va dans le même sens: le berceau des langues parlées se situerait au sud de l'Afrique.
Les 6.000 langues du monde moderne descendraient, selon les travaux de Quentin Atkinson (publiés dans Science), d'une unique langue ancestrale parlée par les premiers hommes d'Afrique, il y a 50.000 à 70.000 ans, souligne The Wall Street Journal.
Cette découverte est surprenante, signale The New York Times. En effet, comme les mots changent très rapidement, les linguistes expliquent généralement que l'on ne peut remonter trop loin dans le temps. Jusqu'à présent, la généalogie d'une langue (en anglais language tree) la plus poussée concerne la famille indo-européenne (à laquelle appartiennent le français et l'anglais, par exemple) et remonte à 9.000 ans.
Atkinson, psychologue évolutionnariste néozélandais, a repoussé cette barrière en étudiant non pas les mots mais les phonèmes (c'est-à-dire les consonnes, les voyelles et les tons qui sont les éléments les plus simples de la langue et qui permettent de distinguer deux mots).
Sa recherche se fonde également sur une idée empruntée à la génétique des populations connu sous le nom d'«effet fondateur», raconte The Wall Street Journal. Ce principe veut que lorsqu'un très petit nombre d'individus se détache d'une plus grande population, il y a une perte graduelle de la variation génétique et de la complexité dans le groupe qui est parti.
Selon Atkinson, on peut appliquer cette théorie au langage (ce qui est contesté par d'autres linguistes, relève The New York Times).
En étudiant 504 langues, Atkinson a constaté que c'est en Afrique que l'on trouve les dialectes utilisant le plus de phonèmes, tandis que ceux qui en utilisent le moins sont localisés en Amérique du Sud et dans les îles tropicales du Pacifique. Ainsi, plus les peuples se sont éloignés de l'Afrique, plus leurs langues ont «perdu» des phonèmes.
The Roots (qui fait partie du Slate Group), consacre également un article à cette découverte. John McWhorter souligne qu'Atkinson s'est particulièrement intéressé aux langues qui utilisent des «clics» (c'est-à-dire un son produit avec la langue ou les lèvres sans l'aide des poumons).
Les langues khoïsan, parlées en Afrique australe (Botswana, Namibie, province du Cap-du-Nord d'Afrique du Sud, Angola méridional) sont celles qui utilisent encore aujourd'hui le clic comme phonème.
Ce qui rend le clic intéressant dans cette étude, ce n'est pas combien il est utilisé par les langues, mais au contraire combien il est dorénavant très peu utilisé, sauf par ces langues khoïsan.
Et si ces langues ont plus de sons que toutes les autres au monde, on peut alors supposer que c'est d'elles que sont originaires toutes les autres.
Sohini Ramachandran de l'Université Brown, qui étudie la génétique des populations et l'évolution humaine, réagit sur New Scientist:
«C'est une idée forte. La langue est une chose qui s'adapte tellement qu'il est logique d'avoir une origine unique avant la sortie de l'Afrique. C'est aussi une belle confirmation de ce que nous avons vu dans les précédentes études génétiques. Les processus qui ont façonné la variation génétique de l'être humain peut aussi avoir des traits culturels.» 
Photo: A San (bushman) Caprivi/Namibie / ibeatty via Flickr CC License by


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Friday, April 15, 2011

Burkina Faso, pays des hommes en colère

Une nouvelle mutinerie de militaires inquiète le régime Compaoré

Après les manifestations d’étudiants, les précédentes rebellions de militaires et la grève des enseignants, c’est au tour du régiment présidentiel de se mutiner. Les soldats ont tiré en l’air aux alentours du palais présidentiel, obligeant Blaise Compaoré à quitter Ouagadougou dans la nuit, pour sa ville natale de Ziniaré.
Un vent de protestation souffle sur « le pays des hommes intègres ». Le président burkinabè Blaise Compaoré est confronté à l’une des pires crises de son régime. Il était près de 22 heures jeudi soir quand des dizaines de militaires du régiment présidentiel se sont mutinés, alors qu’ils sont pourtant les éléments les plus performants et les mieux payés de l’armée burkinabè.
Les mutins ont d’abord tiré en l’air avec des armes lourdes et légères depuis leurs casernes, dont une située à quelques mètres du palais présidentiel, avant de se rendre dans le centre ville pour exprimer leur mécontentement. Ils réclament le versement de leurs indemnités logement et le départ de leur chef d’état-major, le Général Gilbert Diendéré, proche de Blaise Compaoré, dont la maison a été saccagée hier soir. « Ce sont seulement quelques jeunes militaires qui sont en train de faire n’importe quoi », a tenté de relativiser un responsable militaire, affirmant que les autorités « géraient désormais la situation ». De nouveaux tirs d’armes à feu ont pourtant été encore entendus dans la journée de vendredi.
Cette nouvelle rébellion, aux portes de son palais, semble inquiéter le président Blaise Compaoré. Il a quitté Ouagadougou, dans la nuit de jeudi à vendredi, pour sa ville natale de Ziniaré, située à une trentaine de kilomètres de la capitale, avant de revenir vendredi matin.
Avant la mutinerie des soldats de la compagnie présidentielle, d’autres militaires s’étaient déjà révoltés en mars. Leurs revendications étaient beaucoup moins politiques - puisqu’ils réclamaient la libération de plusieurs frères d’armes emprisonnés pour des affaires de mœurs et de viols - mais la révolte de ces dizaines de soldats du rang illustrent le climat de tension qui s’empare du pays.
Protestations en série
Les mouvements de contestation du président se multiplient ces derniers mois. Une grande partie des enseignants burkinabè sont en grève depuis mercredi. Cet arrêt de travail a été lancé conjointement par les deux principaux syndicats de l’éducation, le Syndicat national des enseignants du secondaire et du supérieur (SNESS) et le Syndicat national des travailleurs de l’éducation et de la recherche (Synter). Cette grève vise à obtenir du gouvernement de meilleures conditions de travail et des augmentations salariales promises depuis 2006. La plupart des écoles publiques de Ouagadougou sont toujours fermées, selon l’Observateur Paalga.
Avant cela, la dernière contestation populaire en date remonte à une semaine, quand près de 10 000 personnes ont manifesté vendredi 8 avril à Ouagadougou et dans plusieurs autres villes du Burkina Faso. Ils se sont réunis à l’appel d’une quarantaine d’associations et de syndicats, contre « le coût de la vie et l’impunité du régime hyper-autoritaire ».
Enfin, de violentes manifestations ont également opposé étudiants et policiers fin février, après la mort de l’élève Justin Zongo dans de troubles circonstances. D’autres mobilisations s’étaient produites par la suite dans tout le pays, faisant au moins six morts, dont quatre étudiants.
Un climat de tension pourrait encore monter d’un cran ces prochains jours à cause des coupures d’électricité répétitives au Burkina Faso, victime collatérale du conflit post-électoral ivoirien et de la bataille d’Abidjan. Les affrontements entre les partisans de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et ceux de son successeur Alassane Ouattara ont détruit des équipements du réseau électrique, en interconnexion avec le Burkina Faso, désormais plongé dans le noir en partie. « Il n’y a plus d’électricité dans les quartiers populaires et résidentiels. Seul le quartier des ambassades est préservé », témoigne notre correspondant à Ouagadougou.
La réponse de Blaise Compaoré
Contraint à la fuite hier, le président burkinabè essaye pourtant de calmer la fronde coûte que coûte. Les autorités publiques travaillent activement pour résoudre cette crise électrique, qui pourrait soulever un "ras le bol" populaire. Mais la malchance joue contre elles. Une partie des centrales mobiles de production d’électricité, commandées pour pallier le manque, sont bloquées au port de Dakar et les barrages qui alimentaient le Nord et l’Ouest du pays sont également tombés en panne.
Depuis les soulèvements militaires du mois de mars, Blaise Compaoré a entamé une série de consultations avec les différentes catégories socioprofessionnelles. Cette mesure avait permis de calmer la protestation des militaires, jusqu’à la mutinerie de jeudi soir. Les mutins ont obtenu, hier soir, l’appui de plusieurs officiers. Mais les généraux restent fidèles au régime Compaoré. La pression monte pour l’actuel président du Burkina Faso qui avait, lui même, accédé au pouvoir il y a 24 ans, après un coup d’État militaire. Il a été réélu en novembre dernier avec, officiellement, 80,15 % des suffrages.

Thursday, April 14, 2011

JUGEZ-EN !











Les plus grands pénis sont africains
Selon le classement mondial du site Target Map


Le site Target Map a publié, sur une carte interactive, le classement mondial de la taille des pénis. L’Afrique et l’Amérique latine seraient en tête, et l’Asie en dernière position.
Quels hommes ont les pénis les plus longs de la planète ? Une question de taille, à la laquelle ont travaillé une batterie de scientifiques originaires des quatre coins du globe. Après moult calculs et pondérations, ils ont décerné la palme au continent africain. Ils confortent ainsi une idée qui, auparavant, n’était que du domaine du préjugé et de la légende. C’est ce que révèle Target Map, un service en ligne qui permet de représenter des données statistiques sur des cartes géographiques. Le site a publié le 16 mars une carte interactive sur la taille des pénis dans le monde, intitulée The penis size worlwide. Avec un sexe en érection en moyenne de 17, 93 cm, les Congolais seraient les mieux membrés, suivis des Équatoriens, 17,77 cm, et des Ghanéens, 17,31 cm. En Afrique du Nord, l’Egypte est en tête avec 15,69 cm (21e au rang mondial), suivie de la Tunisie, 15,01 cm, l’Algérie, 14,19 cm et la Libye, 13,74 cm.
La France, avec une moyenne de 16,01 cm, arrive à la quatorzième place, au même niveau que la Jamaïque, Haïti, le Brésil, et Porto-Rico. Elle est en deuxième position sur le podium européen. En revanche les asiatiques auraient les organes reproducteurs les plus modestes : la Corée du Sud, 9,66 cm, le Cambodge, 10,04 cm et la Thaïlande, 10,06 cm, arrivent en queue de peloton. Notons cependant, que certains pays, tels que le Maroc et le Mali, sont absents du classement. Et qu’il ne s’agit là que de moyennes !
D’où proviennent les données ?
La majorité des informations présentées sur la carte proviennent essentiellement de résultats d’études universitaires et médicales. Par exemple, les données pour le Congo ont été fournies par des chercheurs de l’université Kongo, située dans la province du Bas-Congo ; celles de l’Egypte, par la faculté de médecine Ain Shams, au Caire ; et celles du Ghana par un centre de sexologie du pays. Quant aux Equatoriens, ils ont été mesurés par les universitaires de la faculté de Guayakil de Santiago.
Toutefois, tous ceux qui ont accepté de se soumettre au test n’ont pas été évalués selon le même protocole. Certains ont vu leurs bijoux de famille mesurés par des scientifiques. D’autres ont reporté eux-mêmes la taille de leur sexe sur les questionnaires qui leur avaient été fournis. Ce qui rend les résultats de ce tour du monde très particulier sujet à caution. Qui accepterait de révéler en toute honnêteté qu’il porte sous son pantalon un micro pénis ?
Le top 10
ClassementPaysTaille
1Congo17.93 cm
2Equateur17.77 cm
3Ghana17.31 cm
4Colombie17.03 cm
5Venezuela17.03 cm
6Liban16.82 cm
7Cameroun16.67 cm
8Bolivie16.51 cm
8Hongrie16.51 cm
10Soudan16.47cm



International

SPORT ET ...











Coupe du monde et prostitution : la fin de la lune de miel
Le Mondial en Afrique du Sud n’aura pas été rentable pour les travailleuses du sexe


La fin d’un mythe ? Selon une récente étude sud-africaine, la Coupe du monde de football n’aurait jamais été aussi peu profitable pour les travailleuses du sexe. Pire, la situation des prostituées en Afrique du Sud, pays hôte du dernier Mondial, n’a pas évolué.
2010 devait être leur année aussi : 40 000 prostituées étaient attendues en Afrique du Sud à l’occasion de la Coupe du monde de football. Un mois de fête et d’abus plus que profitable pour ces travailleuses du sexe dans un pays qui avait prévu un milliard de préservatifs pour l’occasion.
Raté. Un rapport publié début décembre fait état d’un autre bilan : le mois de juin n’aura pas été faste pour les prostituées en Afrique du Sud, quelles soient locales ou "exportées" d’Afrique ou d’Europe. Ce rapport, basé sur le travail de Marlise Richter (département des études des migrations forcées à la Wits University en Afrique du Sud), indique que les péripatéticiennes ayant participé à la grande messe du football n’attendaient qu’une chose : que les clients plient bagages.
40 000 prostituées
A en croire de nombreux médias, en plus des 500 000 supporters, ce sont 40 000 prostituées qui devaient se joindre à la fête. Venues de Russie, du Congo ou du Nigeria, elles devaient vendre leurs charmes avec un profit maximum. "Je vais gagner trois fois plus d’argent qu’en temps normal et ça me donnera aussi la possibilité de rencontrer des clients potentiels", affirmait ainsi l’Américain Heidi avant le coup d’envoi.
Une prévision confirmée par Marlise Richter : "De nombreuses travailleuses du sexe s’attendaient à une augmentation du nombre de clients ainsi que de monnaies étrangères mais les trois-quarts d’entre elles indiquent qu’il n’y a eu aucun changement dans leurs condition de travail. 16% précisent même avoir eu moins de clients que d’habitude...", affirme la chercheuse sud-africaine qui a rencontré plus d’une soixante de prostituées ayant exercé dans les principales villes hôtes de la compétition.
Violences et abus sexuels
Pire qu’un bilan financier en berne, la situation n’a guère évolué pour les prostituées sud-africaines. Celles-ci pensaient pouvoir les prostituées sud africaines pensaient enfin pouvoir acquérir un statut dans la société avec le débat qui s’est installé sur une éventuelle législation de la prostitution. Plusieurs années après, la prostitution demeure une activité illégale en Afrique du Sud. Pour Angela, 24 ans, qui travaille à Durban, la légalisation de la prostitution aurait été une aubaine, elle aurait au moins mis fin à son éternelle peur de la police. "La police ne fait rien pour nous, au contraire, ils nous chassent, ils nous battent, ils prennent notre argent et nous abusent. J’ai peur, moi, je prends des risques tous les soirs, je monte dans des voitures avec des gens que je ne connais pas, je ne sais pas où ils vont m’emmener ni ce qu’ils vont me faire", dit Angela. Les actes de violence de la police n’ont pas cessé pendant un mois de football. Au contraire.
D’ailleurs, selon Anna, prostituée sud-africaine interviewé par Marlise Richter, les affaires n’ont pas vraiment été florissantes pour les professionnelles, les fans, internationaux ou locaux, préférant se concentrer sur le football. "Les conditions de travail étaient mauvaises. A l’hôtel où j’habite, j’étais payé cent rands par jour (environ 10 €) par jour, raconte-t-elle avant d’affirmer avoir été victime d’abus sexuels de la part des gardes et du personnel de l’hôtel. Il y a aussi une hausse dans le nombre de jeunes filles, non-éduquées et qui n’utilisent pas de préservatifs. Les clients les préfèrent, elles, mais c’est dommage de les voir brisées comme ça. Personnellement, je n’ai plus de sentiments, je n’aime plus. Je vis. Je m’en fiche, j’ai trop souffert."


THE REAL COST WILL NOT BE KNOWN UNTIL...WHEN? GOOD LEADERSHIP!










Lost games during G20 summit costly for Jays

Team seeks $470K in compensation after being forced to shift series

Posted: Apr 14, 2011 6:38 PM ET

Last Updated: Apr 14, 2011 6:38 PM ET

The Toronto G20 summit struck out big time with the city's baseball team, prompting the Blue Jays to seek almost half a million dollars in compensation from the federal government.
The Jays filed a claim for $470,854 after the high-level, high-security meetings forced the team to shift a series of games to Philadelphia, records obtained by The Canadian Press show.
The move spoiled the keenly anticipated appearance of ace Philadelphia pitcher Roy Halladay, whom the Jays traded to the Phillies during the off-season.
Downtown Toronto became a high-security zone late last June when leaders of the G20 countries met for talks, disrupting many popular events at the height of tourist season.
"It was, to put it mildly, a huge inconvenience," said Patrick Taylor, executive producer of Toronto's jazz festival, which has claimed $235,155 in compensation.
The festival experienced lost ticket, food and beverage sales, and spent additional money on security as demonstrators descended on the city, Taylor said. A lucrative sponsorship arrangement with a large hotel also evaporated because the rooms were needed for G20 summit participants.
Porter Airlines, which operates from a downtown airport, topped the list of claimants, seeking more than $1,110,411, according to the records released under the Access to Information Act.
The owners of the Toronto-Dominion Bank Tower requested $629,375, and the National Ballet of Canada applied for $355,265 because the summit put a crimp in audience numbers.

Businesses file claims

Not far away at the Zanzibar Tavern on Yonge St., lithe dancers of the more exotic variety apparently saw fewer patrons as well, prompting a claim of $10,832.
Leaders of the G8 countries gathered last year in cottage country near Huntsville, Ont., before joining other politicians for the G20 summit in Canada's largest city.
Security for the major events involved more than 20,000 personnel from across the country and a budget of $930 million. Steel fencing transformed Toronto's downtown core into something resembling an armed camp.
More than 1,100 people were taken into custody and there was extensive damage to shops and vehicles during G20 protests.
The Foreign Affairs Department says a total of 411 claims were submitted by businesses, non-profit organizations and individuals due to lost revenue and unforeseen expenditures.
Several claimants, including the Blue Jays, declined to discuss their compensation applications. "We will not be making public comment on this issue," said Jays spokesman Jay Stenhouse.
Taylor said federal officials recently went over the jazz society's application, filed last August. "They did a very intensive review of our claim."
The festival has yet to hear anything further.
All claims are assessed by Audit Services Canada to ensure they meet compensation criteria.
Foreign Affairs said it expected to complete work on 214 of the 411 files by late this week. "More files are being completed daily and payments are being processed to those eligible."
The department declined to discuss the amount paid out to date. However, documents tabled in Parliament earlier this year said the total amount claimed to date was $10,656,869.
The University of Toronto's claim of $798,111 was recently turned down because "insufficient evidence was provided" to justify the application, says a federal letter provided to The Canadian Press by the university.


Read more: http://www.cbc.ca/sports/baseball/story/2011/04/14/sp-summit-compensation.html?ref=rss#ixzz1JYQK5TlS

Tuesday, April 12, 2011

PLAY OFFS: NO KO YET!












Leaders make debate pitches, trade barbs

Under attack, Harper appeals for Tory majority

Posted: Apr 12, 2011 6:38 PM ET

Last Updated: Apr 12, 2011 9:31 PM ET

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Liberal Leader Michael Ignatieff arrives for the federal election leaders’ debate. (Paul Chiasson/CP)
Conservative Leader Stephen Harper and his wife Laureen arrive for the federal election leaders’ debate. (Paul Chiasson/CP)
NDP Leader Jack Layton arrives for the federal election leader’s debate on April 12 in Ottawa. (Paul Chiasson/CP)
Bloc Québécois Leader Gilles Duceppe arrives for the federal election leaders' debate. (Paul Chiasson/CP)
Four federal leaders shake hands before the debate in Ottawa. (Paul Chiasson/CP)
Four federal leaders take their positions before the English language federal election debate in Ottawa. (Adrian Wyld/CP)
Four federal leaders prepare to debate in Ottawa. (Paul Chiasson/CP)
Liberal Leader Michael Ignatieff, right, answers a question as he looks toward Conservative Leader Stephen Harper. (Adrian Wyld/CP)
Conservative Leader Stephen Harper answers a question during the English language federal election debate in Ottawa. (Chris Wattie/Reuters)
Bloc Québécois Leader Gilles Duceppe answers a question during the English language federal election debate in Ottawa. (Adrian Wyld/CP)
NDP Leader Jack Layton answers a question during the English language federal election debate in Ottawa. (Adrian Wyld/CP)
NDP Leader Jack Layton, right, debates with Conservative Leader Stephen Harper during the federal leaders’ debate. (Chris Wattie/Reuters)
A Green Party supporter protests Elizabeth May’s exclusion from the debate on April 12 in Ottawa. (Paul Chiasson/CP)
Party supporters rally outside the Government Conference Centre in Ottawa on April 12. (Paul Chiasson/CP)

Beginning of Story Content

Conservative Leader Stephen Harper appealed for Canadians to elect him to lead a majority government, but spent most of Tuesday night's English-language debate on the defensive over the G8/G20 summit spending controversy, corporate tax cuts and respect for the institution of Parliament.
During the two-hour debate in downtown Ottawa, in which Liberal Leader Michael Ignatieff accused Harper and the Conservative party several times of not telling the truth, Harper repeatedly defended his record, emphasizing that he believed his government been strong steward of a fragile economy.
"Canada's got the strongest recovery of any country on Earth, and suddenly it's plunged into a fourth election in seven years, and Canadians don't know why," Harper said.
The debate, hosted by TVO's Steve Paikin, kicked off with a viewer's question about corporate tax cuts, which prompted Bloc Québécois Leader Gilles Duceppe to call on Harper to release the auditor's general's report after a leaked draft alleged the Conservative government lavished millions on cabinet member Tony Clement's riding and misinformed Parliament.
Duceppe also mocked Harper’s tightly-controlled rally appearances by congratulating the Conservative leader for "answering a question from a citizen for the first time in this campaign."
Harper insisted all money from the summits is accounted for and said the auditor general has cautioned Canadians not to draw conclusions from a draft report leaked to The Canadian Press earlier this week. Harper also said he supported the auditor general to release the final report.
Liberal Leader Michael Ignatieff attacked Harper over the corporate tax cuts, saying that the Conservative leader is ignoring the needs of Canadians while corporations bring in record profits.
"Nobody can understand why that makes sense in the middle of the toughest deficit we've seen because of your waste and mismanagement," Ignatieff said.
"That's why we're having an election, because you didn't tell the truth."
Harper defended his government's choices, saying, "We have balanced policies to move us all forward together."
Harper told Ignatieff that raising corporate tax rates would "send a negative message to investors" and hurt job creation while Canada's economy continues to recover from the global recession.
The Liberals have promised to pay for any new programs by returning the corporate tax rate to 2010 levels of 18 per cent.
The current corporate tax rate is 16.5 per cent and would drop to 15 per cent in 2012, under the Conservatives.

Layton slams Ignatieff's support for Tories

But NDP Leader Jack Layton accused Ignatieff of being Harper's "best friend" for supporting corporate tax cuts in previous budgets and that he couldn't be trusted on the issue.
"There you were, supporting Mr. Harper on this massive program corporate tax cuts, and suddenly you're against them," Layton said. "You're Mr. Harper's best friend, and now you're offering yourself as an alternative."
Layton and Ignatieff also sparred over the mission in Afghanistan, with Layton saying the troops should be brought home immediately.
Ignatieff responded that Canada has a responsibility to help the international mission in Afghanistan for three more years.
"We are where we are … You can’t walk away," said the Liberal leader.

Ignatieff targets Harper's 'ideology'

On a question about foreign policy, Ignatieff slammed Harper for being the first prime minister to fail to secure a seat on the United Nations Security Council and shutting down some Canadian foreign aid programs over ideological reasons.
"You are a man who will shut down anything you can't control. That's the core of your vision of government ... and it's hostile to the values of democracy upon which this country is based," Ignatieff said.
But Harper flatly rejected Ignatieff's claims and defended his government's foreign aid record, saying they have not reduced money to third world countries.
Ignatieff also accused Harper of prompting an election by being in contempt of Parliament by failing to provide details to the House of Commons on a number of issues.
But Harper shot back that the election was simply a result of the three parties ganging up on the Tories to outvote them.
He said Canadians will decide whether the actions of the three parties with the contempt motion were "valid, or whether what we should have been doing is focusing on the economy."
"We have to get Parliament back to work, focused on the economy and passing the good measures for people that were in our budget, that we can afford without raising taxes," Harper said.

Coalition issue flares up

The leaders also weighed into the issue of a coalition government, with Duceppe and Layton accusing Harper of being prepared to seize power through such an agreement after coming second to Paul Martin's Liberals in 2004.
Duceppe and Layton said they got together with Harper and drafted the letter to tell then-Gov. Gen. Adrienne Clarkson that Harper was prepared to form a government if Martin lost the confidence of the House of Commons.
Harper has made the idea of a coalition an issue during the campaign, hitting the opposition leaders hard over what he says is a plan to form a coalition government if his party can't form a majority.
"I hope this time — and I'm being quite frank — I hope it is a majority," Harper said.
He rejected the accusation by Duceppe and Layton that he was ready to form a government in 2004, insisting that the leader of the party that wins the most seats in an election should be prime minister.
Harper also insisted he would never enter into a coalition with party like the Bloc committed to the breakup of Canada.
"The reason Mr. Duceppe and Mr. Layton are changing their stories now is in 2008, they tried to put in power the Liberal Party, which had lost the election. That's not how democracy works," Harper said.
Although Ignatieff again rejected a coalition, Harper also claimed that Ignatieff has not ruled out forming a government with the NDP and Bloc if the Tories fail to win a majority.

Harper defends immigration record

On immigration, both Ignatieff and Layton took aim at the policies of the Conservatives. Ignatieff said his father might not have been able to enter the country under Tories polices, while Latyon echoed that his mother-in-law may also not have been welcomed.
"How can we regard it as somehow acceptable that a family has to wait for 10 years for their mother or father to come and join them? That is just so wrong," Layton said
The New Democrat leader said he looks to the example of his wife Olivia Chow’s mother "who lives with us, lived with us for 20 years." "Thank goodness she wasn’t applying to come here now because she might never have got to see my granddaughter," Layton said. "That’s simply wrong and it’s tearing families apart."
But Harper denied that the Tories are keeping families apart and that their record on immigration is strong.
"We've been increasing categories across the board in terms of family class. There will be as many famliy class admitted this year as in the previous year," Harper said.
"There will always be far more people willing to come to Canada than we can admit in any year," Harper said. But he added "our economy needs [immigration.] Our society needs it and we’re all better for it."

Crime, health care wrap up debate

On crime, Ignatieff criticized Harper for wanting to take a U.S. style approach to the issue by focussing on mandatroy-minimum sentencing and building mega-prisons.
But Harper said a number of Tory crime initiatives have been stalled by the election and that Canadians have repeatedly said they want the punishment to fit the crime. The leaders also raised the issue of the issue of the long-gun registry, with Harper, who opposes the project, charging that the program will do nothing to prevent crime.
The leaders’ last question was on health care, with Layton saying that Canadians don’t trust his party on the issue and that they only recently jumped on the bandwagon of properly funding health care. He also accused Harper of wanting to privitize healthcare.
Harper said that he has been working in co-operation with the provinces and had brought in wait time measures and will work to make sure health-care dollars are spent effectively.
Harper said Layton has a different definition of what he considers privitization, saying instead he won't wave his finger at provinces who want to experiment with delivery of services. Harper also insisted that all Canadians will always have access to health care.
All parties have vowed to maintain the annual six-per-cent increase after the current health-care funding accord with the provinces expires in 2014.
The debate was divided into six segments. Each segment started with a question from a Canadian voter, leading to a six-minute one-on-one debate between two leaders, before concluding with an open debate on the same topic.
The French-language debate, using the same format, is set for 8 p.m. ET Wednesday.
Green Party Leader Elizabeth May was left out of the debate after the broadcast consortium, which includes CBC and Radio-Canada, decided to invite only the leaders whose parties are represented in the House of Commons.